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Dépasser la «pensée colibri»

Face à l’urgence environnementale et sociale, nombreux sont les appels à «faire sa part», chacun à son échelle: manger bio, faire du vélo, économiser du papier…
Mais ces dites solutions sont-elles à la taille de l’enjeu?
Cette approche des «petits gestes positifs pour la planète» ne contribue-t-elle pas à un horizon d’engagement totalement dépolitisé?
Loin de tout rejeter, cette analyse cherche à mieux décortiquer la «pensée colibri».
Elle est surtout une invitation à poursuivre le débat.

par Barbara Garbarczyk