L’occupation temporaire sera-t-elle associationniste?
Les occupations temporaires sont un phénomène en pleine expansion au sein de la Région bruxelloise. Tant propriétaires privés que pouvoirs publics ont compris l’avantage d’y recourir. Elles ne se limitent plus aux squats conventionnés ou aux relogements d’urgence.
Dans ce contexte, une série d’enjeux se posent aux associations d’occupation temporaire. Quelles attitudes adopter dans un contexte mouvant et fait d’acteurs aux intérêts et aux pratiques divergentes? Comment éviter de se faire marginaliser? Comment éviter de perdre ce qui donne son sens à l’action associative en essayant de gagner en légitimité ou en reconnaissance?
Cette analyse entend participer à la réflexion en vue d’une institutionnalisation positive de l’occupation temporaire. Elle propose une classification des risques de dérives qu’encourent les associations, et suggère quelques pistes d’action.
Cette analyse fait suite à un panorama des acteurs de l’association temporaire, à lire ici
par Mathieu Vanwelde
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